Prison Break 4X10 : The legend
Dans lequel Sucre et Lincoln font mumuse avec des mines antipersonnelles, Michael et Sara vont voir le docteur House et dans lequel tout le monde chiale la mort de Bellick.
Prison Break continue d'être pas crédible du tout, tout en restant passionnant. Les rebondissements sont tellement gros qu'on y croit. Prenez par exemple, les mines antipersonnelles. Bon, Sucre marche sans faire exprès dessus et pour éviter que ça explose, il décide de ne pas lever son pied. Dès le début on sait que ça ne va pas péter et pourtant l'épisode va nous convaincre pendant 30 minutes que si, ça risque de peter. D'ailleurs, la fin est "sensationnelle", il suffisait d'appuyer sur un bouton pour éviter que ça saute.
Michael a encore un évanouissement. C'est en trop pour Sara qui l'emmène à l'hosto. Il a le droit à une petite IRM et je m'étonne que la FOX n'ait pas demandé à Hugh Laurie (Dr House) de venir jouer dans l'épisode. Ça aurait fait un petit buzz et les audiences auraient grimpés… un peu. Enfin bref, l'intrigue n'aura servi à rien. Si, à montrer que les scénaristes sont à la totale ramasse concernant le peu de réalisme de la série. Ce n'est pas une surprise mais de là à dire que Scofield va mourir demain si il n'a pas l'opération, ça fait quand même pitié, non ?
"Bellick est mort ! Vive Bellick !" Voici le leitmotiv de l'épisode. Bien que Brad ait maltraité la majorité des personnes du groupe (saison 1), ait poursuivis cette même majorité pour pouvoir toucher une juteuse récompense en ramenant tout le monde à Fox River (saison 2) et a joué la loque en saison 3 (mais là, on ne compte pas. On ne tire jamais sur l'ambulance), la team réussit a pleurer devant le cadavre (bizarrement intacte !). Elles sont sympas ces personnes.
Bilan : Un épisode plaisant à suivre mais qui renie encore et toujours sur le peu de réalisme qu'a encore la série.