Fringe 1X07 : In which we meet Mr Jones

Episode dans lequel on électrocute, on écrit des barres, on drague des allemands, on cherche le gentleman…

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Fringe est véritablement une bonne série. Même si plusieurs intrigues mythologiques sont absentes de cet épisode (John Scott, Nina Sharp/Massive Dynamics,…), on se laisse prendre au jeu de cette intrigue d'un épisode. Certes, on risque de revoir débouler l'histoire à un moment ou à un autre puisque les gentils étaient en fait des méchants qui travaillent pour une organisation quelconque.

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Anna Torv reste une mauvaise actrice. C'est un fait indéniable. Mais sa storyline est toutefois réussi. Tout du moins en partie. En effet, L'agent Dunham doit partir en Allemagne pour rencontrer un prisonnier qui peut soigner un agent du FBI affecté d'un mal inconnu. Ça c'est la partie réussie. La mauvaise partie est quand elle retrouve un ex/ami/ex-collègue (barrez les mentions inutiles) et qu'ils passent la moitié de leur temps à dragouiller ou à faire des sous-entendus. C'est vrai ! La vie d'un homme est en jeu !

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La partie laboratoire est la partie qui m'intéresse le plus notamment les petites manies de Walter qui tournent à l'humour, le fait qu'il ne sait toujours pas comment se nomme son assistante du FBI (Astrid) ou encore quand il demande à son fils d'être le cobaye de l'expérience de l'épisode. En effet, le malheureux Peter doit subir des électrochocs au cerveau pour pouvoir communiquer avec un mort et ainsi accéder à la demande du prisonnier allemand. Le trio Astrid-Peter-Walter est le groupe de personnages le plus sympathique à regarder. Le suspens à la fin de l'épisode est là aussi également rudement bien mené !

Bilan : Amplement satisfait ! Il ne reste plus que l'épisode qui va me laisser sur le c.. pour que je puisse dire "La vache ! Cette série est de la bombe en boite !"

Note :